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Mon tour du monde

Mon tour du monde
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2 décembre 2007

Un petit tour sur les marchés de Noël

Avec les fêtes, on voit apparaître divers marchés de Noël dans les villes. Certaines offrent en plus quelques animations comme des carrousels, des pistes de luge, des patinoires ou des crèches vivantes.

Les villes redoublent d'inventions pour attirer le public, comme Amiens qui en profite chaque année pour illuminer sa magnifique cathédrale.

Chaque marché est unique mais ceux qui attirent le plus restent ceux de Strasbourg, Colmar et Cologne. De nombreux commerçants s'installent dans les maisonnettes en bois pour faire découvrir leurs spécialités ou leur artisanat. On peut en profiter pour déguster des biscuits à la Cannelle ou un vin chaud, ou même, commencer les achats pour les fêtes, les cadeaux comme les décorations. Peut-être que vous y rencontrerez le père Noël.


Vous trouverez ici un lien qui répertorie les marchés de Noël en France:
http://www.noel-france.com/

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31 octobre 2007

La Transylvanie: Voyages au milieu des Carpates

La Transylvanie, terre des mythes vampiriques et autres légendes, est une région de Roumanie, bordée par la Hongrie et les Carpates. Les décors spécifiques composés de montagnes austères et d'une végétation dense et sombre et les nombreuses forteresses bâties sur les éperons rocheux, ont inspiré de nombreux auteurs comme Bram Stoker (Dracula, 1897) ou bien avant, Jules Verne (Le Château des Carpates, 1889).

Cette région pluriethnique a aussi subi les invasions nazies et le régime communiste de Ceausescu, ce qui l'a fragilisé économiquement. Riche d'un patrimoine historique et culturel peu restauré, cette région de Roumanie attire de nombreux touristes chaque année. En effet, Sighişoara est patrimoine mondial de l'UNESCO grâce à son centre historique saxon, Sibiu offre une vieille ville saxonne intacte. On y trouve également le château de Bran (Moyen-Âge), le palais Bruckenthal (XVIIIe siècle) ou le palais Bánffy (XVIIXIXe siècle).

Cette terre abrite l'un des plus grands mythes: Dracula. En effet, rendu célèbre grâce à un livre de Bram Stocker et bien plus tard par le Film de Francis Ford Coppola, le mythe attire de nombreux touristes. Face à cette demande, des agences créent des produits sur mesure ou des circuits pour découvrir le château associé injustement au Comte Dracula (le château de Bran) ou encore d'autres lieux des environs emprunts de folklores roumains comme le Maramureş et ses paysages de montagnes boisées  parsemés de clochers de bois, le Pays des Moţi ou de folklores hongrois comme le Kalotaszeg et le Pays sicule. Par ailleurs, il est important de souligner que le château de Bran n'a jamais appartenu à Vlad Tepes III (dit l'empaleur) qui a inspiré le mythe de Dracula, par son côté sanguinaire. Or, la description faite par Bram Stocker de son château, a poussé bon nombre de personnes à croire qu'il s’agissait de la vraie forteresse du Comte.

Vous pouvez aussi découvrir le folklore local au travers des soirées à thèmes, comme celles proposées dans les circuits de Marsans. Sur place, l'accueil est étonnant d'après certains de mes amis, les Roumains sont chaleureux et agréables.

Voici quelques liens pour préparer un éventuel voyage:
http://www.visit-romania.ro/sectiuni/franceza/accueil/accueil.htm
http://www.routard.com/guide/code_dest/roumanie.htm
http://laroumanie.free.fr/page/carnet.html

En tout cas, ça m'a donné envie de découvrir la Roumanie!

1 octobre 2007

Le tourisme de guerre: Ordalie ou voyeurisme?

Dans un Paris Match, un reportage m'a quelque peu interpellé. Il s'agit d'un article de Mariana Crépinet intitulé "Tourisme géopolitique: A la recherche du frisson de l'actu".

Cet écrit présente des "voyageurs de l'extrême", des touristes qui n'hésitent pas à mettre leur vie en danger pour découvrir un pays en guerre. Ils partent par exemple, en Irak, en Afghanistan, dans les favelas de Rio ou de Sao Paulo, en Tchétchène, en Birmanie ou autre pays où personne n'irait s'aventurer. Ces voyageurs parlent de leur passion pour le voyage, d'une volonté dé découvrir Bagdad ou Islamabad d'une autre façon.

Certains agences se spécialisent dans ce tourisme dit "de guerre". Peu de clients, mais des prestations assez chères, ainsi, ces agences peuvent survivre. Sur place, ils sont encadrés par des guides pour des questions de sécurité. Si le danger est trop important, le voyage est annulé.

Le besoin d'adrénaline de certains les pousse à recommencer, à repartir encore plus près des conflits. D'autres préfèrent affronter les résultats des grandes catastrophes, comme Visiter Tchernobyl ou parcourir les lieux dévastés par le Tsunami ou l'ouragan Katrina.

Cette façon de voyager est quelque peu ordalique. Risquer sa vie pour vivre ses vacances avec plénitude. Cet article ne parle pas de voyeurisme, juste de défis. Qu'advient-il des autochtones? Après le passage du Tsunami, certains touristes ont changé leur projet et se sont orienter vers la Thaïlande ou le Sri Lanka pour aller aider les sinistrés. On ne parle pas de cet aspect humanitaire quand on évoque le tourisme géopolitique. Dommage.

17 septembre 2007

Préparer son voyage

Il existe deux façons de voyager: Opter pour un produit complet acheté en agence de voyages ou sur le net, et, prendre son sac à dos et partir à "l'aventure".

Pour la première, moins de tracas, mais on peut tout de même préparer son voyage: les excursions pour découvrir les choses à visiter ou à voir, les alentours du lieu de vacances... Pour cela, il suffit juste de contacter l'Office du Tourisme de l'endroit (où vous vous rendez) qui se fera un plaisir de vous envoyer cartes et brochures. De plus, sur place, il y a des gens qui peuvent vous orienter comme les agences réceptives ou même le concierge de l'hôtel. L'idéal pour découvrir, c'est la demi-pension. Vous pouvez ainsi aller comme bon vous semble où vous voulez et pourquoi pas louer une voiture.
Si vous optez pour farniente, optez pour le "All Inclusive", histoire de profiter pleinement de ce moment de détente.

Pour les aventuriers, en plus des informations piochées à l'Office du Tourisme, vous pouvez investir dans un guide (Le Guide du Routard, le Guide Vert etc.) et dans une carte. De plus, pensez à réserver votre hébergement; l'auberge de jeunesse reste le moyen le moins coûteux de se loger et le meilleur moyen de rencontrer d'autres "aventuriers". Pensez aussi à prévoir tout ce qu'il faut dans votre sac à dos pour dormir et se doucher (duvet, serviettes etc.). Sur place, n'hésitez pas à parler aux locaux pour vous orienter vers des "bons plans".

http://www.french.hostelworld.com/index.php

http://www.routard.com

Peu importe comment vous voyagerez, consultez surtout les conditions d'admission sur un territoire étranger et les vaccins à faire sur le site du Ministère des Affaires Etrangères: http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs_909/index.html

15 septembre 2007

Le patrimoine mondial de l'Unesco

L'Unesco, organisation internationale de l'ONU, a une mission de protection du patrimoine et des héritages culturels et naturels. Ainsi, en plus de divers monuments ou sites, l'Unesco protège également des parcs nationaux. Le terme "patrimoine mondial" montre que les sites appartiennent à tous les peuples de la terre, peu importe où ils sont situés, ils ont une valeur exceptionnelle.

La définition, la protection et la préservation de ce patrimoine culturel ou naturel sont régit par une convention adoptée en 1972. La mission de l'Unesco est:

 

  • D’encourager les pays à signer la Convention du patrimoine mondial et à assurer la protection de      leur propre patrimoine;
  • De solliciter les Etats à proposer des sites pour les inscrire sur la Liste du patrimoine mondial;
  • D’encourager les Etats à élaborer des plans de gestion et à mettre en place des systèmes de      soumission de rapports sur l'état de conservation des sites du patrimoine mondial;
  • D’aider les Etats à sauvegarder les sites du patrimoine mondial grâce à une assistance technique et une formation professionnelle;
  • De fournir une assistance d'urgence aux sites du patrimoine mondial en cas de danger immédiat;
  • D’appuyer les activités menées par les Etats pour sensibiliser le public à la préservation du patrimoine mondial;
  • D’encourager la participation des populations locales à la préservation de leur patrimoine culturel et naturel;
  • Et enfin, d'encourager la coopération internationale dans le domaine de la conservation du patrimoine culturel et naturel du monde.

Vous pouvez trouver la liste des sites classés au patrimoine mondial de l'Unesco ici: http://whc.unesco.org/fr/list

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10 septembre 2007

L'écotourisme

Une nouvelle façon de voyager en respectant la nature et les habitants. L'écotourisme c'est avant tout une volonté de reverser les richesses amenées par le tourisme aux autochtones. On ne leur reverse pas un "impôt", mais une éco-participation peut servir à construire une école ou à creuser un puits.

Quelques agences de voyages proposent à leurs clients de faire de l'écotourisme comme Nouvelles Frontières, Jet Tours ou Nouveau Monde. Ainsi, les voyageurs peuvent visiter des mines du Pérou ou admirer les femmes Quechua tisser en Bolivie. On leur propose de l'originalité hors des sentiers battus et loin du club de vacances pour familles.

Certaines associations aident quant à elle, les locaux à obtenir certaines normes d'hygiène et de qualité pour accueillir des voyageurs. Ainsi, elles subventionnent la réhabilitation de chambres. Les voyageurs sont logés chez l'habitant qui leur fournit le gîte et le couvert et peuvent découvrir ainsi la vie locale. L'argent de l'hébergement leur est reversé, l'écotourisme créée une source de revenu et un emploi pour de nombreux foyers de pays en voie de développement.

Enfin, l'association Echoway vous donne des conseils pour faire de l'écotourisme mais ne vend pas de séjours. On vous propose quelques reportages écrit par des voyageurs ayant pratiqué cette nouvelle façon de voyager, mais aussi comment composer un sac à dos écologique pour respecter la nature.

http://www.echoway.org/

21 août 2007

Le tourisme "excentrique"

Dans le Elle d'août, j'ai découvert un article intitulé "Le guide du tourisme excentrique". En gros, c'est trouver de nouvelles façons de découvrir une ville, comme faire le tour des bars à cocktail ou des places de la ville.

Une  de ces manières de visiter m'a plu: L'anachronotourisme. En résumé, on se procure un guide touristique de la ville datant des années 50 ou 60 et on explore la ville. Là, on peut voir comment la ville a évolué mais l'article propose surtout de s'orienter vers les personnes de 60 ou 70 ans pour avoir un vrai ressenti de la ville à cette époque. Ceci est une idée fort sympathique qui mêle à la fois le côté découvert à l'aspect humain. Je testerai cette façon de visiter dans une ville d’histoire comme Nancy par exemple.

Autre façon personnelle de visiter que je vous conseille: faire le tour des marchés d'une ville. A Londres, entre Camden Down, Portobello Market ou Covent Garden, vous avez de quoi faire. Surtout que la ville regorge de petits marchés.

12 août 2007

Prague...

Quatre jours à Prague pour visiter la capitale tchèque. C'est très joli, il y a beaucoup de monuments. Peut-être un peu trop et souvent peu entretenus ou réhabilités. Le soir, le quartier du château est bien éclairé, contrairement au reste. La ville n'est pas assez mise en valeur comparée à Paris ou à Londres. Il faut lui laisser encore un peu de temps.

La capitale tchèque compte de nombreux musées, dont ceux dédiés à Franz Kafka, Musha ou des sites où Jan Hus et Jean Népomucène sont mis en valeur. Prague c'est aussi une ville de mythe, comme celui du Golem et vous serez surpris par le nombre d'édifices religieux.

L'idéal est de prévoir un circuit: une journée sur la Vieille Ville (Staré Mĕsto), la Nouvelle Ville (Nové Mĕsto) et Josefov, et une autre sur le quartier du château (Hradčany) et de la Malá-Strana. Si vous ne visitez pas ou peu les musées, deux jours c'est assez.

Le seul point négatif, c'est l'impression que donnent les Tchèques de prendre les touristes pour des "vaches à lait". Le taux de change est une véritable arnaque, il faut y faire attention. Tout comme la monnaie qu'on vous rend ou aux prix abusifs des taxis. Les musées sont assez chers, ce qui est réellement dommage.

Si vous comptez prendre les transports, il existe des cartes. Or, il faut savoir que les deux centres historiques se font essentiellement en se promenant. La carte est très peu amortie et ne vaut donc pas forcément le coup.

1 août 2007

La Croatie: l'Istrie

La Croatie est un pays merveilleux. Les gens sont accueillants et attachants, les paysages diversifiés, l'eau turquoise... L'Istrie est la partie nord du pays, la plus italienne. Les oliviers, la terre rouge et les vignes en sont la preuve. On dit de cette région qu'elle est "la côte d'Azur croate". Les plages sont faites de galets.

On trouve toujours quelque chose à faire ou à visiter. La région du nord compte de nombreuses villes intéressantes comme Pula, Rovinj, Rijeka ou Opatija, mais aussi des lieux magiques comme les Lacs de Plitivice ou les îles. Plus à l'est, on peut voir des traces de la guerre sur les maisons des villages.

Tout ce que je peux dire, c'est que ça m'a donné envie d'y retourner, de visiter le sud, particulièrement Dubrovnik et pourquoi pas en faisant une escale au Monténégro.

8 janvier 2007

Londres

La capitale anglaise, c'est un peu un coup de cœur. Les gens y sont sympas, l'ambiance générale est plaisante et c'est riche en culture.

L'idéal et le moins coûteux, c'est de loger en auberge de jeunesse. Pour les ballades, il n'y a que l'embarras du choix : Leicester Square, Picadilly Circus, Trafalgar Square, Covent Garden (vraiment très agréable), China Town, Notting Hill et le marché de Portobello Road le samedi, Camden Town et Oxford Street pour le shopping, Hyde Park pour les ballades.

Il ne faut pas oublier les visites: Buckingham Palace, la Tour de Londres et le Tower Bridge, Westminster (de nuit c'est encore plus joli) ou bien saint Paul Cathedral. Pour les insolites, il reste Madame Tussaud's, the London Dungeon (musée de la torture), le London Eye ou même une ballade en bateau sur la Tamise.

Le problème des visites, c'est le prix, donc achetez vos billets en avance via Internet, c'est le plus simple et le plus économique. En plus, on ne fait pas la queue. De nombreux musées sont gratuits comme le British national Museum, la National Gallery ou la Tate Gallery.

Pour le transport, il vaut mieux privilégier les cartes à la journée, ce qui revient moins cher. Et si vous vous perdez, pas de panique, il y a toujours quelqu'un pour venir vers vous.

Pour réserver vos billets pour les musées, expositions, croisières ou autres, vous pouvez le faire grâce à ce site:http://www.londoneye.com/

Attention toutefois aux dates sur les vouchers!

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